EMOTIONS PHOTOGRAPHIQUES

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AVEYRON, LOZERE : Du Causse noir au Causse Mejean

  

 

 

Nous sommes remontés ensuite en direction des GORGES DE LA JONTE pour arriver dans deux villages  LE ROZIER  qui est sur une hauteur mais dans la Lozère et en face le village de  PEYRELEAU  sur une hauteur également mais qui se situe en Aveyron.

 

 

 

 

 

 

 Le Rozier

 

 

 Peyreleau

 

 

 

 

 

 

 

Nous avions retenu une chambre d'hôte, dans le village du ROZIER. La fenêtre de notre chambre donnait sur le village de PEYRELEAU.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons d'emblée été séduits par ce village.

 

Il fait partie de tous ces villages achetés, restaurés par des étrangers au département ou même à la France et qui donnent le sentiment aux touristes de se promener dans des musées-villages.

 

Mais si les étrangers ne s'étaient pas intéressés à ces villages, ils seraient transformés aujourd’hui en tas de pierres.

 

 

 

Nous avons poursuivi notre route en direction du Causse Mejean dont les vastes étendues simples et colorées se révèlent d'une telle beauté qu'un nom clignotait devant mes yeux  :  Van Gogh.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les adjectifs les plus précis ne peuvent décrire l'intensité des émotions ressenties quand on passe  du Causse noir au Causse Méjean, donc des GORGES DU TARN aux GORGES DE LA JONTE.

 

 

 

 

 

 

Gorges de la Jonte

 

 

 

 

 

 

 

Avant de regagner les gorges de la Jonte, nous avons admiré les magnifiques forêts du Causse Noir. Nous avons d'ailleurs découvert une Abbaye en cours de restauration dans les bois, à 150 mètres de la route, découverte magique, signalée par un banal panneau dans un virage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sans nous presser, nous marchâmes en pleine forêt pour voir surgir devant nous cette abbaye.

Je n'ai pas résisté au plaisir de la photographier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Reposés, nous avons repris notre promenade vers les plateaux du Causse noir.

 

Devant nous, se déployaient à l'infini des champs ou les verts se conjuguaient avec les jaunes.

 

Dans certains, les coquelicots éparpillaient dans le plus grand désordre, transformaient ces espaces en palettes pour les peintres.

 

Dans d'autres, les cheveux d'ange s'ouvraient, pressés par des vents turbulents. Sous le soleil de cette fin d'après-midi, nous avons pris le temps d'en cueillir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par contre, dans cette région, nous avons cherché en vain, les troupeaux d'ovins.

 

Nous avons appris qu'ils sortaient surtout la nuit car la journée il faisait trop chaud dans cette partie du département.

 

Cependant, nous avons  vu un troupeau de moutons gardé par un berger. En prenant soin de ne pas les effrayer, j'ai tenté de les photographier.

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 



12/09/2012
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